C'est un petit format qu'on peut dévorer en un rien de temps. C'est l'état des lieux de la transformation d'un bijoux en caillou pour le bon plaisir de ses réformateurs bling bling qui n'aiment pas la culture au contraire des générations d'hommes et de femmes qui ont aimé France Culture. Et de surcroît, celui qui a dénoncé cette casse, c'est bien le mot, s'est retrouvé devant le TGI de Paris pour une histoire de caricature jugée insultante. Charlie-Hebdo et Le Canard enchaîné se sont alors rués vers le tribunal pour défendre la liberté d'expression comme ils savent bien le faire dans d'autres circonstances ? Non. On croit rêver ! Aucun(e) journal, magazine, revue.... ne s'est déplacé(e): ils ont sans doute jugé que cette audience n'était pas digne d'intérêt pour leurs lecteurs. Et on crie par ailleurs pour la liberté de penser, la liberté d'expression !
Deux poids trois mesures, messieurs les bouffons !