Ce livre est très déroutant. Une chose est sûre, les faits qui entourent les effondrements multiples des bâtiments du WTC et l'attaque du Pentagone montrent que notre gouvernement ne nous dit pas l'entière vérité. Je frémis à l'idée que ce que ce livre tente de prouver soit vrai. Renseignez-vous auprès de nos amis experts des thèmes traités. Je ne suis pas persuadé qu'il s'agisse uniquement d'une erreur par omission. Il me semble évident que quelqu'un a exécuté un plan de tromperie magistral et tué des milliers d'innocents. Ossama et Bush n'en sont peut-être que les instruments [ceux sur qui on rejette les fautes].
- Le WTC était sans doute l’un des gratte-ciel les plus résistants. Ils ne sont tout simplement pas construits selon des normes de résistance aussi élevées que le World Trade Center - Scientific American, Octobre 2001
[Il s'agit sans doute une coquille, une confusion entre WTC et ?] souligné par nous.
- Un bâtiment en acier a résisté, lors d’exercices, à des incendies dans lesquels il était soumis à des températures extrêmes, supérieures à celles que peuvent atteindre le kérosène . - Essais de résistance au feu Cardington
- Les détails des incendies qui ont touché le WTC 7 et la manière dont ils ont entraîné l’effondrement du bâtiment n’ont pas été déterminés à l’heure actuelle - Federal Emergency Management Administration. (agence fédérale de gestion des urgences) Chapitre 5, Page 31, Mai 2002
- L’enquête sur le WTC " est une mauvaise blague - Fire Engineering Magazine. Janvier 2002
- Toutes les preuves essentielles du désastre ont été détruites, illégalement, et avant même la fin de l’enquête voire, pour certaines, avant son début. - Fire Engineering
- Seuls 600 000 dollars ont été alloués à l’enquête sur l’effondrement du WTC contre 40 millions de dollars consacrés aux frasques sexuelles de M. Clinton. La Commission 9/11 dans son ensemble n’a dépensé que 15 millions de dollars alors que les dépenses relatives à l’infidélité de M. Clinton s’élevaient à plus de 65 millions de dollars.
- La Tour sud (bâtiment n°2) s’est écroulée au bout d’une heure ; la Tour nord (bâtiment n°1) au bout de deux heures. Le Meridian Plaza a flambé pendant 19 heures mais ne s’est jamais effondré.
- Le bâtiment 7 du WTC, édifice en acier de 47 étages, construit différemment des tours jumelles, s’est écroulé à 5h30 sans jamais avoir été touché par aucun avion, sans avoir subi d’incendie majeur !
- Les incendies n’ont pas duré suffisamment longtemps (à peine 1 à 2 heures) pour attaquer l’acier.
- Pourtant, des jours plus tard, des points chauds, dont la température excédait celle pouvant être produite par du kérosène (mais pas par des explosifs) subsistaient à l’intérieur du bâtiment.
- Les rafales de vent , qui s’abattaient sur les tours avaient parfois été plus importantes que l’impact des avions. Aucune des tours n’était tordue, aucune n’avait jamais craqué ni grincé.
- Les bâtiments se sont effondrés à la vitesse de chute maximale, ce qui est impossible en l’absence d’explosif ! (Chaque étage touché aurait quelque peu ralenti l’effondrement, davantage au début.)
- Le béton était revêtu d’un coffrage en acier, pourtant, des nuages de poussière de béton et des poutres en acier ont été projetés à l’extérieur des bâtiments à une distance équivalente jusqu’à 3 fois la largeur des édifices et à plusieurs centaines de kilomètres/heure, ce qui n’est possible qu’en cas d’utilisation d’explosifs.
- Si la force du bâtiment s’effondrant est suffisamment élevée pour pulvériser du béton, les boulons et les rivets devraient résister à une force supérieure, puis céder. Néanmoins, la force permettant de pulvériser du béton en poudre fine est supérieure à celle capable de tordre et d’étirer des boulons et rivets en acier. Il n’y a qu’une seule possibilité.
- Aujourd'hui encore, je reste stupéfait du fait que [le pilote présumé du Vol 77] aie pu s'écraser sur le Pentagone ", affirme le moniteur de pilotage des auteurs du détournement. " II ne savait pas du tout piloter. " Pourtant, Le virage serré était si régulier, selon les sources, qu'il est évident qu'aucune lutte pour le contrôle de l'avion n'était en cours. Et cette manoeuvre complexe laisse penser que les compétences des auteurs du détournement en matière de pilotage étaient supérieures à celles supposées initialement par beaucoup d'enquêteurs.
- COMMISSION NATIONALE SUR LES ATTAQUES TERRORISTES CONTRE LES ÉTATS-UNIS, Audience publique du vendredi 23 mai 2003: M. Mineta déclara : " Un jeune homme est entré et a dit au Vice-président : " L'avion [vol 77] se trouve à 80 kilomètres. 50 kilomètres. 15 kilomètres environ" ; M. Cheney savait que cet avion se dirigeait vers Washington et le Pentagone mais, malgré cela, aucun décollage immédiat n'avait été ordonné pour protéger Washington plus d'une heure après l'attaque du WTC. Même à une vitesse de 650 kilomètres/heure, il faut plus de sept minutes pour parcourir 80 kilomètres et davantage dans ce cas, puisque l'avion se trouvait en altitude. Cheney savait que l'avion s'approchait alors qu'il était encore bien plus éloigné, puisque M. Mineta n'était pas présent lorsque le vol 77 a été signalé à M. Cheney. La disparition de cet avion était connue depuis plus d'une heure après le crash du premier avion dans la Tour nord. Un escadron de F-16 et d'autres avions aurait dû survoler Washington, DC. Un avion de chasse F-16 peut parcourir 80 kilomètres et détruire une cible en moins de deux minutes. Par ailleurs, les photos diffusées par le Pentagone montrent des missiles antiaériens attaquant un appareil bien plus petit qu'un 757. Rien n'a fonctionné ! Incompétence ou culpabilité ? Découvrez comment les auteurs présumés du détournement ont utilisé des informations top secrètes pour trouver les failles dans nos systèmes de défense radar.
- La NORAD [défense aérospatiale de l'Amérique du Nord] a intercepté avec succès les changements de cap et détournements suspectés d'avions dans 100% des 67 cas survenus lors de l'année précédent le 11 septembre, (AP, 8/13/02), chaque fois en moins de 20 minutes. Un F-15 de l'armée de l'air " grimpe " à 8800 mètres en 2 minutes 30 et met normalement 15 minutes à intercepter un avion. Pourtant le 11 septembre, il y eut quatre défaillances de plus d'une heure chacune, parmi lesquelles trois ont été commises alors que le détournement et les meurtres en masse prévus étaient connus. Veuillez lire Crossing thé Rubicon, de Michael Ruppert, qui pointe du doigt Richard Cheney pour son implication dans les jeux de guerre qui ont distrait et empêché nos intercepteurs d'arrêter les avions détournés. Comparez cela avec la déclaration de Condoleezza Rice lors de son communiqué de presse du 16 mai 2002, " Je ne pense pas que quiconque aie pu prévoir que ces personnes tenteraient de se servir d'un avion comme d'un missile, d'un avion détourné comme d'un missile ". (Voir l'émission diffusée 6 mois plus tôt sur Fox TV). " Condoleezza Rice était la représentante officielle de la sécurité nationale aux côtés du Président Bush lors du sommet du G8 qui s'est tenu en juillet 2001 à Gêne. C'est là que les autorités américaines ont été averties du risque d'attaques aériennes par des terroristes islamistes lors du sommet, ce qui a entraîné la fermeture de l'espace aérien au-dessus de Gêne et l'installation d'armes antiaériennes dans l'aéroport de la ville "
- Le 6 août 2001, un mois à peine avant le 11 septembre, en plein " été des menaces ", le Président Bush recevait dans son ranch de Crawford, au Texas, un PDB (briefing présidentiel quotidien) intitulé " Ben Laden déterminé à frapper les États-unis ". Ce mémo était entièrement consacré au risque d'attaques terroristes à l'intérieur des États-unis. Dans son témoignage devant la Commission 9/11, Condoleezza Rice, conseillère du Président Bush pour les questions de sécurité nationale, a affirmé que le Président Bush et elle considéraient le PDB du 6 août uniquement comme un document historique et a indiqué qu'il n'avait pas été considéré comme une alerte nationale. Lors de cette audience de la Commission 9/11, Condoleezza Rice avait prêté serment et juré de dire la vérité aux membres de la Commission. [Parjure!]
- Par ailleurs, selon le rapport de la Commission 9/11, Richard Clarke, expert en chef des questions de terrorisme à la Maison Blanche, a envoyé à Mme Rice un mémo urgent au cours des premiers jours suivant sa prise de fonction. Ce mémo soulignait la gravité de la menace terroriste. Il est resté sans réponse. Bien que les dirigeants en matière de sécurité nationale se soient réunis une centaine de fois au cours des mois précédents les attaques du 11 septembre, le terrorisme n'a été le thème que de deux sessions. La première réunion portant sur Al Qaeda n'a eu lieu que le 9/4/01. Lisez la lettre des veuves du 11 septembre sur "Kindasleazy" Rice. Mme Rice a menti en affirmant que la possibilité d'un détournement d'avions utilisés comme armes n'a pas été anticipée. Pourtant, la couverture de la FEMA (Federal Emergency Management Agency) illustre justement une attaque de ce type.
- Les médias m'ont également consterné. Un sondage Zogby effectué à ma demande a indiqué que 66% de New Yorkais souhaitent une réouverture de l'enquête sur le 11 septembre et que 49% d'entre eux pensent que les autorités gouvernementales étaient au courant bien avant l'attaque mais n'ont rien fait pour l'empêcher. Ce sondage NE constitue PAS "une information méritant publication", selon le New York Times. J'ai dû payer une annonce pour qu'il soit diffusé dans le New York Times !
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