Publications
Publications
Ouvrages
Ouvrages
Người Ba-na ở Kon Tum - Les Bahnar de Kontum
EFEO-Hanoi & Éditions Thế giới, Hà Nội,
octobre 2011, 514 p., illustrations & photos, lexique
Người Ba-na ở Kon Tum - Les Bahnar de Kontum
EFEO-Hanoi & Éditions Thế giới, Hà Nội,
octobre 2011, 514 p., illustrations & photos, lexique
Note de traduction
Table des matières de la première édition (traduction)
Préface de P. Guilleminet
Aux lecteurs
Première partie - La province de Kontum
Deuxième partie - Les coutumes
- Corps et esprit
- Philosophie et croyances
- Astrologie et Géomancie
- Village et relations sociales
- Le clan
- État civil
- Les métiers
- Loisirs et arts
- Les proverbes
- Les devinettes
- Les légendes
- Le ouvrages consultés
Politique
Comme le Kontum est peuplé de Montagnards et de Vietnamiens, son organisation politique est
différente de celle des provinces d'en bas.
Le décret du 30 juillet 1923 du Résident supérieur de l'Annam a fixé les trois points fondamentaux
quant à l'organisation politique : « Chaque peuple est gouverné par son propre gouvernement, chaque
peuple est jugé par son propre juge, on applique à chaque peuple ses propres lois ». Il existe ainsi trois
administrations politiques différentes au Kontum : celle des Montagnards, celle des Vietnamiens et
celle du Protectorat.
Administration chez les Montagnards -
Depuis que le Protectorat est présent dans cette région, les Français ont petit à petit suggéré aux
Montagnards de s'inspirer de nos institutions
politiques. Sur le plan local, la plus petite unité est le village qui existe déjà, donc on n'y touche pas. Le
protectorat nomme seulement un responsable de village, correspondant au
lý trưởng de chez nous,
pour représenter les villageois dans les contacts avec les autorités. Son rôle consiste à aider ces
dernières à prélever les impôts, à lever la corvée et à régler les problèmes si problèmes il y a. S'il ne
parvient pas à régler une affaire, celle-ci sera portée devant la justice dont il sera question plus bas. Le
responsable de village n'est pas rémunéré il est simplement exempté d'impôts. A l'heure actuelle on
compte 847 villages sans parler de ceux qui ne se sont pas soumis.
Les villages sont regroupés en un canton placé sous la responsabilité du chef de canton qui perçoit
mensuellement 7 à 8 $, et il est exempté d'impôts. Chaque chef de canton reçoit une attestation écrite
pour sa nomination. Il y a actuellement 27 cantons.
Les chefs de canton sont placés sous l'autorité de deux chefs de district l'un basé à Kontum et l'autre à
An-Khê. Ces deux derniers touchent chacun un traitement mensuel de 35 $ versé par la cour de Huế,
ils ont droit à un logement de fonction et à des gardes à leur service. Leur rôle consiste à inciter les
chefs de canton et de village à prélever les impôts, à lever les corvées, ils siègent également aux
audiences de justice des Montagnards. En réalité ils n'ont pas les mêmes droits que nos chefs de
district.
Administration de la Cour de Huế -
Quand les autorités coloniales créèrent en 1913 la province de Kontum, simultanément la Cour de
Huê nomma un chef de district [
tri huyện] pour administrer les résidents vietnamiens. En 1917 le
district [
huyện] fut transformé en préfecture [
phủ]. L'année suivante le district de Tân An fut rattaché à
Kontum et en 1928, Kontum devint un
đạo [province] placé sous la responsabilité d'un
quản đạo
[mandarin de province], alors que Tân An était sous la responsabilité du mandarin de district [
tri huyện],
et Pleiku de l'assesseur chargé de la sécurité. Fin 1932, Pleiku fut détaché au profit de la création du
đạo de Gialai, ainsi le
đạo de Kontum n'avait plus que quatre cantons, soit au total 39 villages répartis
de la manière suivante :
1 – Kontum : un canton regroupant 10 villages.
[1]
2 – Tân An : 3 cantons regroupant 29 villages.
Sur le territoire du
đạo, le mandarin chargé de cette division administrative [
quan quản đạo]
représente l'autorité suprême, mais à Kontum ce mandarin cumule aussi le rôle du mandarin de la
préfecture et du district, c'est-à-dire qu'il doit juger les affaires de son territoire (celui du canton de
Tân Hương).
Quant à l'organisation du village et du canton, elle n'est pas différente de celle de la plaine, on n'a donc
pas besoin d'en parler.
Depuis la réforme du 2 mai 1933, l'instruction publique revint à la Cour de Huế. Le directeur de
l'instruction publique de Kontum a sous son autorité des enseignants locaux ou vietnamiens relevant
du secteur public ou du privé. Au bourg de Kontum même, l'école primaire reçoit les élèves des
Vietnamiens et ceux des Montagnards qui sont, eux, pensionnaires.
Dans le district de Tân An, il existe deux maternelles pour les petits Vietnamiens, l'une au village de
Tân An et l'autre à Cựu An.
À Daktô, il existe une école pour les petits Sedang.
A propos, nous en profitons pour parler des écoles créées par les missionnaires pour accueillir les
enfants des fidèles. Il en existe six : l'École Cuénot ne reçoit que les garçons des Montagnards, l'École
Sainte-Thérèse reçoit les filles des Montagnards et des Vietnamiens, les quatre autres à Phường Nghĩa,
à Tân Hương, à Phương Hòa et à Phương Qúi reçoivent les enfants vietnamiens.
Administration du Protectorat -
Au-dessus des administrations locale et vietnamienne est placée celle du Protectorat. Le Résident de Kontum est le représentant local de la
France.
Administration - Pour faciliter l'administration, le gouvernement divise la province de Kontum en cinq
secteurs, Kontum, An-Khê, Konplong, Dakto et Dakxut, qui sont placés chacun sous la responsabilité
d'un chef de secteur dont le rôle consiste à arbitrer certaines affaires de justice, à maintenir l'ordre, à
prélever les impôts, et à créer des routes dans son secteur. Les chefs de secteur sont subordonnés au
Résident qui supervise l'ensemble de la province. Ils ont les mains libres mais quand il est question
des affaires graves, ils doivent s'en remettre à lui avant d'agir.
Comme il y a des Vietnamiens à An Khê, le chef du secteur est aussi appelé le représentant (
đại lý),
qui a le pouvoir de contrôle sur le district de Tân An.
En définitive, le chef de secteur a les attributions de notre chef de district ou de
phủ. Ainsi on pourrait
dire qu'à Kontum l'administration relève plus de l'administration directe que du Protectorat.
Justice – Les affaires opposant les Français aux Vietnamiens ou aux Montagnards relèvent de la
justice française, c'est pareil partout.
Les affaires entre Vietnamiens relèvent de la Cour de Huế, cependant avant d'appliquer la sentence
ou de transférer la requête au ministère de la Justice, on doit consulter le Résident qui donne son avis.
Quant aux affaires entre les Montagnards, si le chef du village ne parvient pas à les régler, elles sont
portées devant le tribunal des Montagnards. Celui-ci est présidé par le Résident ayant pour adjoint le
chef de secteur, le représentant des Montagnards au niveau du district y prend part, et une dizaine de
notables y siègent en tant qu'assesseurs. Ces « magistrats» doivent suivre les coutumes locales
[2]
propres à chaque ethnie, cependant les peines sont différentes : les assassins sont condamnés à être
emprisonnés, quant aux autres peines, les condamnés sont autorisés à racheter leur peine, à raison
de cinq piastres le mois. Les peines de plus d'un an doivent être communiquées au Résident supérieur
de l'Annam qui les avalise avant d'être appliquées.
Cette règle est aussi appliquée dans le secteur d'An Khê. Les affaires importantes sont renvoyées au
tribunal de Kontum.
Dans les autres secteurs, le chef de secteur est autorisé à rendre un « non-lieu » . Si cela se complique
il renvoie l'affaire devant le tribunal de Kontum.
Il existe à Kontum un tribunal spécial mi-vietnamien mi-local pour régler les affaires opposant les
Vietnamiens aux Montagnards. Son organisation ressemble à celle du tribunal des Montagnards
avec cette différence qu'on applique la loi dont on relève en terme de nationalité.
Casernes – Au centre de Kontum se dresse une caserne de la garde indigène sous commandement
d'un officier. Il existe une petite caserne dans chaque secteur. L'effectif des gardes indigènes à Kontum
est de 350, comprenant Vietnamiens et Montagnards. Autrefois, lors de la conquête de cette région,
la garde indigène était composée uniquement de Vietnamiens. À partir de 1910 on a commencé à
recruter chez les Montagnards.
Hôpital - Il y a au centre de Kontum, un grand hôpital de quatre-vingts lits, dirigé par un médecin
français ou vietnamien ayant sous ses ordres des infirmiers et infirmières vietnamiens et ceux et
celles des Montagnards.
À An Khê, le petit hôpital est dirigé par un infirmier.
Dans chaque caserne on trouve des médicaments placés sous la surveillance d'un garde qui a reçu
une formation à Kontum.
Vétérinaire - Il existe à An Khê un service vétérinaire dirigé par un médecin vétérinaire, on élève sur
son domaine des chevaux, des bovins et des ovins, etc.
Travaux publics - Les routes et les ponts sont sous la responsabilité du service des
Travaux publics. Un ingénieur de Pleiku supervise les deux provinces.
Postes et télécommunications – Il y a une grande poste à Kontum et une petite à An Khê qui dépendent
toutes les deux du chef de service des Télécommunications à Saigon. Kontum et Pleiku sont reliés par
le téléphone en passant par des postes lointaines comme celle de Daktô, de Dakxut. Dans le bourg, le
téléphone relie la Résidence, le bureau du chef de secteur et l'hôpital. Deux fois par semaine, le
courrier arrive de Qui Nhơn et part à Qui Nhơn.
Forêts - Le Kontum est une région boisée mais le service des forêts n'est pas
encore bien mis sur pied. C'est l'officier de caserne qui cumule cette tâche. Celui qui souhaite travailler
le bois doit lui demander l'autorisation et lui verser des redevances.Depuis que le Protectorat est
présent dans cette région, les Français ont petit à petit suggéré aux Montagnards de s'inspirer de nos
institutions politiques. Sur le plan local, la plus petite unité est le village qui existe déjà, donc on n'y
touche pas. Le protectorat nomme seulement un responsable de village, correspondant au lý trưởng
de chez nous, pour représenter les villageois dans les contacts avec les autorités. Son rôle consiste à
aider ces dernières à prélever les impôts, à lever la corvée et à régler les problèmes si problèmes il y a.
S'il ne parvient pas à régler une affaire, celle-ci sera portée devant la justice dont il sera question plus
bas. Le responsable de village n'est pas rémunéré il est simplement exempté d'impôts. A l'heure
actuelle on compte 847 villages sans parler de ceux qui ne se sont pas soumis.
Les villages sont regroupés en un canton placé sous la responsabilité du chef de canton qui perçoit
mensuellement 7 à 8 $, et il est exempté d'impôts. Chaque chef de canton reçoit une attestation écrite
pour sa nomination. Il y a actuellement 27 cantons.
Les chefs de canton sont placés sous l'autorité de deux chefs de district l'un basé à Kontum et l'autre à
An-Khê. Ces deux derniers touchent chacun un traitement mensuel de 35 $ versé par la cour de Huế,
ils ont droit à un logement de fonction et à des gardes à leur service. Leur rôle consiste à inciter les
chefs de canton et de village à prélever les impôts, à lever les corvées, ils siègent également aux
audiences de justice des Montagnards. En réalité ils n'ont pas les mêmes droits que nos chefs de
district.
Administration de la Cour de Huế
Quand les autorités coloniales créèrent en 1913 la province de Kontum, simultanément la Cour de
Huê nomma un chef de district [
tri huyện] pour administrer les résidents vietnamiens. En 1917 le
district
[huyện] fut transformé en préfecture [phủ]. L'année suivante le district de Tân An fut rattaché à
Kontum et en 1928, Kontum devint un
đạo [province] placé sous la responsabilité d'un
quản đạo
[mandarin de province], alors que Tân An était sous la responsabilité du mandarin de district [
tri huyện],
et Pleiku de l'assesseur chargé de la sécurité. Fin 1932, Pleiku fut détaché au profit de la création
du
đạo de Gialai, ainsi le
đạo de Kontum n'avait plus que quatre cantons, soit au total 39 villages
répartis de la manière suivante :
1 – Kontum : un canton regroupant 10 villages.1
2 – Tân An : 3 cantons regroupant 29 villages.
Sur le territoire du
đạo, le mandarin chargé de cette division administrative [
quan quản đạo]
représente l'autorité suprême, mais à Kontum ce mandarin cumule aussi le rôle du mandarin de la
préfecture et du district, c'est-à-dire qu'il doit juger les affaires de son territoire (celui du canton de Tân
Hương).
Quant à l'organisation du village et du canton, elle n'est pas différente de celle de la plaine, on n'a donc
pas besoin d'en parler.
Depuis la réforme du 2 mai 1933, l'instruction publique revint à la Cour de Huế. Le directeur de
l'instruction publique de Kontum a sous son autorité des enseignants locaux ou vietnamiens relevant
du secteur public ou du privé. Au bourg de Kontum même, l'école primaire reçoit les élèves des
Vietnamiens et ceux des Montagnards qui sont, eux, pensionnaires.
Dans le district de Tân An, il existe deux maternelles pour les petits Vietnamiens, l'une au village de
Tân An et l'autre à Cựu An.
À Daktô, il existe une école pour les petits Sedang.
A propos, nous en profitons pour parler des écoles créées par les missionnaires pour accueillir les
enfants des fidèles. Il en existe six : l'École Cuénot ne reçoit que les garçons des Montagnards, l'École
Sainte-Thérèse reçoit les filles des Montagnards et des Vietnamiens, les quatre autres à Phường
Nghĩa, à Tân Hương, à Phương Hòa et à Phương Qúi reçoivent les enfants vietnamiens.
Administration du Protectorat
Au-dessus des administrations locale et vietnamienne est placée celle du Protectorat. Le Résident de
Kontum est le représentant local de la France.
Administration - Pour faciliter l'administration, le gouvernement divise la province de Kontum en cinq
secteurs, Kontum, An-Khê, Konplong, Dakto et Dakxut, qui sont placés chacun sous la responsabilité
d'un chef de secteur dont le rôle consiste à arbitrer certaines affaires de justice, à maintenir l'ordre, à
prélever les impôts, et à créer des routes dans son secteur. Les chefs de secteur sont subordonnés au
Résident qui supervise l'ensemble de la province. Ils ont les mains libres mais quand il est question
des affaires graves, ils doivent s'en remettre à lui avant d'agir.
Comme il y a des Vietnamiens à An Khê, le chef du secteur est aussi appelé le représentant (
đại lý),
qui a le pouvoir de contrôle sur le district de Tân An.
En définitive, le chef de secteur a les attributions de notre chef de district ou de
phủ. Ainsi on pourrait
dire qu'à Kontum l'administration relève plus de l'administration directe que du Protectorat.
Justice - Les affaires opposant les Français aux Vietnamiens ou aux Montagnards relèvent de la
justice française, c'est pareil partout.
Les affaires entre Vietnamiens relèvent de la Cour de Huế, cependant avant d'appliquer la sentence
ou de transférer la requête au ministère de la Justice, on doit consulter le Résident qui donne son avis.
Quant aux affaires entre les Montagnards, si le chef du village ne parvient pas à les régler, elles sont
portées devant le tribunal des Montagnards. Celui-ci est présidé par le Résident ayant pour adjoint le
chef de secteur, le représentant des Montagnards au niveau du district y prend part, et une dizaine de
notables y siègent en tant qu'assesseurs. Ces « magistrats» doivent suivre les coutumes locales 2
propres à chaque ethnie, cependant les peines sont différentes : les assassins sont condamnés à être
emprisonnés, quant aux autres peines, les condamnés sont autorisés à racheter leur peine, à raison
de cinq piastres le mois. Les peines de plus d'un an doivent être communiquées au Résident supérieur
de l'Annam qui les avalise avant d'être appliquées.
Cette règle est aussi appliquée dans le secteur d'An Khê. Les affaires importantes sont renvoyées au
tribunal de Kontum.
Dans les autres secteurs, le chef de secteur est autorisé à rendre un « non-lieu » . Si cela se complique
il renvoie l'affaire devant le tribunal de Kontum.
Il existe à Kontum un tribunal spécial mi-vietnamien mi-local pour régler les affaires opposant les
Vietnamiens aux Montagnards. Son organisation ressemble à celle du tribunal des Montagnards avec
cette différence qu'on applique la loi dont on relève en terme de nationalité.
Casernes - Au centre de Kontum se dresse une caserne de la garde indigène sous commandement
d'un officier. Il existe une petite caserne dans chaque secteur. L'effectif des gardes indigènes à Kontum
est de 350, comprenant Vietnamiens et Montagnards. Autrefois, lors de la conquête de cette région,
la garde indigène était composée uniquement de Vietnamiens. À partir de 1910 on a commencé à
recruter chez les Montagnards.
Hôpital - Il y a au centre de Kontum, un grand hôpital de quatre-vingts lits, dirigé par un médecin
français ou vietnamien ayant sous ses ordres des infirmiers et infirmières vietnamiens et ceux et celles
des Montagnards.
À An Khê, le petit hôpital est dirigé par un infirmier.
Dans chaque caserne on trouve des médicaments placés sous la surveillance d'un garde qui a reçu
une formation à Kontum.
Vétérinaire - Il existe à An Khê un service vétérinaire dirigé par un médecin vétérinaire, on élève sur
son domaine des chevaux, des bovins et des ovins, etc.
Travaux publics – Les routes et les ponts sont sous la responsabilité du service des Travaux publics.
Un ingénieur de Pleiku supervise les deux provinces.
Postes et télécommunications – Il y a une grande poste à Kontum et une petite à An Khê qui dépendent
toutes les deux du chef de service des Télécommunications à Saigon. Kontum et Pleiku sont reliés par
le téléphone en passant par des postes lointaines comme celle de Daktô, de Dakxut. Dans le bourg, le
téléphone relie la Résidence, le bureau du chef de secteur et l'hôpital. Deux fois par semaine, le
courrier arrive de Qui Nhơn et part à Qui Nhơn.
Forêts - Le Kontum est une région boisée mais le service des forêts n'est pas encore bien mis sur pied. C'est l'officier de caserne qui cumule cette tâche. Celui qui souhaite travailler le bois doit lui demander l'autorisation et lui verser des redevances.
Notes :
[1]. À compter de 1934, le canton de Tân Hương est
composé de douze villages car deux nouveaux viennent d'être créés : Châu Khê et Thạch Xuyên.
[2]. Ces coutumes relèvent bien sûr de l'oralité. Le
Résident supérieur de l'Annam est en train de collecter ces coutumes afin d'en faire un code des lois.
Crédit photo :
Toutes les photos & illustrations sont tirées de l'ouvrage réédité.
Sommaire de la rubrique
|
Haut de page
|
Suite
|