"L'après-midi de l'invasion de l'Irak, au commencement de la première guerre du Golfe, j'étais en train de
mesurer la vibration de l'eau du robinet de Tokyo et je découvris un accroissement inhabituel et particulièrement
brutal des taux de vibration causés par la présence de mercure, de plomb, d'aluminium et d'autres substances
nocives au corps humain. Je ne trouvai aucune raison apparente à cela; je crus d'abord que quelque chose ne
marchait pas dans mon appareil mais mes mesures répétées ne confirmèrent en rien cette supposition. Ce
n'est que le jour suivant, en lisant la presse, que je fus capable de faire la connexion. L'annonce du début de
la Guerre du Golfe faisait la une des journaux. On y lisait que le poids des bombes lancées en ce premier jour
de guerre était équivalent à celui de l'ensemble des bombes lâchées au cours de toute la guerre du Vietnam.
Au Japon à des milliers de kilomètres du Moyen-Orient, il m'était possible de mesurer les vibrations de ces
substances nocives pratiquement au moment précis où la guerre éclatait ! Vous vous interrogez sans doute :
est-ce réellement possible ?"
[2]
[1]. Masaru EMOTO,
Les messages cachés de l'eau, Paris, Ed.
Trédaniel, 2001, 2004, p. XXIII
[2]. Ibid., p. 88.